Que votre enfant rigole en regardant une publicité ou qu’il fasse des MDR à cause de ses propres blagues, créer une maison pleine de rires peut soulager le stress et rendre la vie de famille plus amusante. Des études ont également montré que partager un rire avec vos enfants favorise une relation parent-enfant plus forte.
Même si vous avez des enfants qui ont des appréciations différentes de l’humour, il existe des moyens d’observer et de nourrir le sens de l’humour de votre enfant à mesure qu’il grandit et apprend à communiquer. Voici cinq façons d’encourager davantage de rires dans votre maison.
1. Participez à un rire adapté à votre âge
Bien que les nourrissons puissent sourire à peine douze heures après leur naissance (et que les bébés puissent rire quelques mois plus tard), la capacité de votre enfant à comprendre les blagues et à en rire met du temps à évoluer. Jouer à « cache-cache » est amusant pour les enfants de huit mois lorsqu’ils apprennent la permanence des objets, tandis que les enfants de deux ans trouvent le charabia amusant lorsqu’ils commencent à comprendre le vrai langage… et comprennent que cela n’a aucun sens. Lorsque votre enfant a six ans, vous pouvez lancer des blagues impliquant des jeux de mots (telles que : « Quel est le meilleur mois pour un défilé ? Mars ! », ou « Pourquoi les dragons dorment-ils pendant la journée ? Pour qu’ils puissent combattre des chevaliers ! »). . L’humour du petit pot ravira les enfants de trois ans, mais il est préférable de réserver les blagues déplacées aux adolescents.
2. Faites de la maison un environnement stimulant l’estime de soi
Les enfants ayant une faible estime de soi se sentent souvent limités et confinés, et incapables de créer ou d’apprécier l’humour. Louer les réalisations physiques et sociales de votre enfant, ainsi que ses réussites scolaires et celles basées sur ses compétences, lui donnera la confiance nécessaire pour aimer être idiot. Évitez de ridiculiser vos enfants, car cela ne fera que les rendre moins confiants et plus protecteurs envers eux-mêmes. Les jeux et activités qui favorisent l’imagination, le jeu d’imitation et la curiosité devraient tous être encouragés.
3. Utilisez le rire pour la conformité, la discipline et pour réduire la tension
Au lieu de crier après vos enfants pour accomplir des tâches telles que nettoyer les jouets ou leur chambre, prendre la situation à la légère pour montrer votre mécontentement montre que vous pouvez être amusant mais ferme. Par exemple, prétendre que vous avez oublié comment fonctionne quelque chose dans votre maison peut encourager vos enfants à vous aider à accomplir des tâches, tandis que faire des bruits amusants pendant qu’ils rangent les jouets peut rendre les tâches agréables. S’ils ne veulent pas quitter le terrain de jeu, les défier à une course peut éviter une crise de colère. De même, faire des blagues ou faire quelque chose de stupide après une dispute familiale stressante peut dissiper les tensions et redonner à votre maison l’ambiance d’un endroit heureux.
4. Demandez (ou observez) ce qui fait rire vos enfants
Si vous avez un enfant drôle mais un fils ou une fille qui rit rarement, organisez une soirée humour en famille et demandez à vos enfants d’apporter une blague, un jeu ou une anecdote de l’école qu’ils trouvent amusante. Leur demander comment ils ont choisi chaque article et ce qu’ils trouvent drôle à ce sujet est un moyen simple de découvrir ce qui fait rire chaque personne. Il est possible que votre enfant préfère l’humour pince-sans-rire ou ait un esprit sec. Les enfants réalistes, perfectionnistes et analytiques au cerveau gauche constituent souvent un équilibre pour ceux qui les entourent.
Si vous pensez que son sens de l’humour a été altéré par un incident particulier, comme l’intimidation, un traumatisme ou la dynamique de la personnalité au sein de votre foyer, sachez que la personnalité moins drôle de votre enfant pourrait être le produit de son environnement. Si ces influences extérieures ont un impact sur la capacité de votre enfant à être stupide et à trouver de l’humour dans quoi que ce soit, envisagez de faire appel à un thérapeute pour l’aider à surmonter ces sentiments.
5. Fixez des limites à l’humour
Lorsque vos enfants entrent en quatrième ou cinquième année, les garçons rient des blagues à connotation violente ou sexuelle, tandis que les filles adorent les blagues qui renforcent leur place dans la foule « cool » ou sur les petits amis. Les deux sont des moyens de tester les normes culturelles ou les comportements acceptables. Mais les blagues peuvent mal tourner, et raconter des blagues d’exploitation qui font que les enfants se sentent plus petits – ou ignorer une opportunité de créer des liens avec vos enfants pour créer une blague à la place – n’est pas utile. Appelez vos enfants lorsque vous voyez de l’humour mal fait et assurez-vous que tout humour respecte la personnalité unique de votre enfant.