(Problèmes de sons dans le 1er quart d'heure)
Le Pr Pierre Michel Llorca, psychiatre (université Clermont-Ferrand) constate la difficulté à distinguer les sujets qui présenteraient un trouble préalable à la consommation et ceux qui présentent un trouble induit par la consommation. Reste le constat de la surreprésentation des alcoolodépendants parmi les personnes atteintes par des troubles psychiatriques. Des approches suggèrent que l'alcool est alors consommé sous la forme d'une "automédication" visant à réduire la souffrance psychique, ou à rétablir un équilibre chez des sujets atteints d'un stress chronique. Les résultats sont fragiles et difficiles à obtenir chez des patients affectés par l'alexithymie (difficultés à exprimer verbalement les émotions).
Voir la vidéo sur le site de l'Université de Poitiers