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Baclofène, plutôt pour les patients anxieux ?
Réflexions à partir de la méta-analyse d’Agabio et al, qui suggère que l’existence de troubles anxieux pourrait être un facteur prédictif de bonne réponse à un traitement par baclofène.
Pr Christophe Lançon, Marseille ; Dr Thierry Ventre, La Seyne-sur-Mer ; Dr Stéphane Robinet, Strasbourg ; Mustapha Benslimane, Paris
Le Flyer n° 81. PDF, 2 pages
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Extrait d’un documentaire ARTE intitulé "Drogues et cerveau - cannabis - un défi pour la science" (2005). Le Dr Philippe Batel, chef du service de traitement ambulatoire des maladies addictives à l'hôpital Beaujon, explicite le lien entre cannabis et schizophrénie.
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(Problèmes de sons dans le 1er quart d'heure)
Le Pr Pierre Michel Llorca, psychiatre (université Clermont-Ferrand) constate la difficulté à distinguer les sujets qui présenteraient un trouble préalable à la consommation et ceux qui présentent un trouble induit par la consommation. Reste le constat de la surreprésentation des alcoolodépendants parmi les personnes atteintes par des troubles psychiatriques. Des approches suggèrent que l'alcool est alors consommé sous la forme d'une "automédication" visant à réduire la souffrance psychique, ou à rétablir un équilibre chez des sujets atteints d'un stress chronique. Les résultats sont fragiles et difficiles à obtenir chez des patients affectés par l'alexithymie (difficultés à exprimer verbalement les émotions).
Voir la vidéo sur le site de l'Université de Poitiers
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Vidéo créée par l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Stéphane Potvin, chercheur eu Centre de recherche Fernand-Seguin de l'Hôpital Louis-H. Lafontaine (Montréal) répond à la question : "Est-ce que la drogue peut causer la maladie mentale?"
