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Intervention de Jean Michel Costes, sociologue (OFDT), intitulée "L’addiction aux jeux d’argent et de hasard en France en 2010. Résultats de la 1ère étude de prévalence", prononcée lors du colloque THS 2011, le 14 octobre 2011.
Les diapositives présentées.
L'enquête "Baromètre santé 2010" estime la prévalence du jeu pathologique dans la population, à 0,4% de la population, soit 200.000 personnes. En prenant une définition plus large incluant les joueurs "problématiques" et à "risque", le taux passe à 1,3% de la population, soit 600.000 personnes.
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Reportage de Dijon-danté (08/07/2013). Interview d'Emmanuel Benoit, directeur du SEDAP (Société d’Entraide et d’Action Psychologique), Dijon, organisme qui accueille toute personne concernée par des problèmes d’addiction.
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Jeux de hasard et d’argent chez les usagers d’un centre d’addictologie en Alsace
S.Odermatt-Biays, F.Pileyre-Berthet, B.Leroy, J.Cluzeau, F.Ackermann, A.Kempf, L.Lalanne-Tongio, P.Odermatt
Le Flyer, PDF, 8p.
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Intervention de Marthylle Lagadec, psychologue, thérapeute cognitive et comportementale (CHU de Nantes), intitulée "Prise en charge cognitive et comportementale des joueurs pathologique", prononcée lors du colloque THS 2011, le 14 octobre 2011.
Les diapositives présentées.
Le modèle de Blaszczynski permet de distinguer plusieurs types de joueurs pathologiques (le joueur classique, le joueur affecté par des comorbidités anxiodépressives, le joueur affecté par des troubles de la personnalité) et d’adapter les prises en charges. Les distorsion cognitives (par exemple les biais d'interprétation comme la croyance qu'après plusieurs des pertes on gagne forcément) jouent un rôle majeur dans le jeu pathologique et elles peuvent être travaillées dans le cadre de thérapies cognitivo-comportementalistes. Marthylle Lagadec expose un cas clinique.