Le nombre de cas de MPOX en Guinée depuis une épidémie a été détecté pour la première fois a été adopté par 200, ont déclaré vendredi à l’AFP à l’AFP, plusieurs pays voisins étant témoins d’une augmentation récente des infections.
Le mois dernier, le directeur de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que le virus restait une urgence internationale de la santé au milieu de la hausse de l’Afrique de l’Ouest.
La Guinée a maintenant enregistré 206 cas au total, a déclaré à l’AFP le porte-parole Sory Keira de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire (ANSS).
L’épidémie, qui a commencé en septembre dernier, comprend un décès et 77 hospitalisations.
MPOX est causé par un virus de la même famille que la variole. Il peut être transmis aux humains par des animaux infectés, mais peut également être transmis entre les personnes par contact physique étroit.
La maladie, qui a été détectée pour la première fois chez l’homme en 1970 dans le Dr Congo, provoque de la fièvre, des douleurs musculaires et de grandes lésions cutanées en forme d’ébullition et peut être mortel.
Il a deux sous-types: clade 1 et clade 2.
Endémique longue en Afrique centrale, le virus a acquis une importance internationale en mai 2022 lorsque le clade 2 s’est propagé dans le monde, affectant principalement les hommes gais et bisexuels.
L’OMS en juin a déclaré que la maladie resterait une urgence internationale « basée sur l’augmentation continue du nombre de cas, y compris une récente augmentation de l’Afrique de l’Ouest, et probablement une transmission non détectée en cours dans certains pays au-delà du continent africain ».
De janvier à fin mai de cette année, la Sierra Leone a enregistré un total de 3 350 cas, dont 16 décès.
Le Libéria avait environ 71 cas actifs début juin, selon son Institut national de santé publique.
Des milliers de cas ont également été enregistrés cette année dans le Dr Congo, en Ouganda et au Burundi, selon l’OMS.